Qu’est ce que / Qu’est-ce qu’Amoral : Définition et concept
Contents
- 1 Qu’est ce que / Qu’est-ce qu’Amoral : Définition et concept
- 1.1 Cela ou ce qui n’a pas de sens moral.
- 1.2 Moralité : faire le bien nous rendra meilleurs et plus heureux.
- 1.3 L’influence de l’éducation sur le développement de la moralité
- 1.4 Amoralisme : théorie philosophique née au XIXe siècle selon laquelle le comportement des personnes doit être analysé indépendamment du bien ou du mal.
Le mot amoral est le terme que nous utilisons fréquemment pour indiquer que quelque chose ou quelqu’un n’a pas ou ne présente pas de sens moral, c’est-à-dire que les actions, les comportements, qu’ils manifestent, manquent totalement de but moral, il y a une absence totale du système moral qui est normalement ancré dans les gens.
Cela ou ce qui n’a pas de sens moral.
En conséquence du fait que le mot en question est utilisé pour faire référence à l’absence, dans ce cas, de moralité, il est construit avec un a au début, ce qui, en matière linguistique, a pour effet d’exprimer ce qui est contraire.
Les êtres humains, ayant la capacité de réflexion, peuvent l’appliquer pour évaluer ce qui est bien ou mal, c’est-à-dire ce qui est ou non conforme à une rectitude ou à une valeur morale.
Moralité : faire le bien nous rendra meilleurs et plus heureux.
La morale propose que si nous agissons de la bonne manière, en faisant le bien, nous serons des personnes meilleures et plus parfaites que si nous ne le faisons pas, et lorsque cette inclination est constante et se maintient dans le temps, nous pourrons jouir d’une existence plus élevée, et du bien-être qui découle du fait de faire le bien. Faire le bien implique toujours de s’y engager, ce qui demandera de la constance et des efforts, et de pouvoir résister à toute tentation de faire le contraire, c’est-à-dire le mal.
L’influence de l’éducation sur le développement de la moralité
D’autre part, la moralité est étroitement associée à la formation des personnes, c’est-à-dire que les personnes doivent être éduquées dans ce sens, et cela doit évidemment se produire à un âge précoce, et la responsabilité incombe aux parents, ou à quiconque est responsable de l’éducation d’un mineur.
Plus tard, cette éducation se poursuivra à l’école dans le même sens, mais elle commence et se termine toujours à la maison, c’est pourquoi il est très important ce qui est proposé dans cet espace et les modèles qui y sont observés et promus.
Face à l’occurrence d’un certain événement, nous pouvons réagir et agir de différentes manières, car nous sommes libres, maintenant, la disposition de la moralité nous permettra de discerner ce qui est bien ou ce qui est, mais bien sûr, nous le ferons en fonction de la moralité que nous avons intériorisée et apprise, donc nous parlons de la pertinence de la formation.
Normalement, pour qu’un enfant comprenne que quelque chose qu’il a fait est mal, par exemple ne pas prêter un jouet à un camarade qui n’en a pas, nous devons appliquer une sanction qui aura pour but de lui apprendre que ce qu’il a fait n’est pas bien, afin que dans la même situation, à l’avenir, il puisse agir différemment et prêter le jouet à son ami.
Ce n’est que de cette manière que nous pouvons enseigner à un enfant ce qui est bien et ce qui est mal, et l’aider à intérioriser les valeurs morales.
Amoralisme : théorie philosophique née au XIXe siècle selon laquelle le comportement des personnes doit être analysé indépendamment du bien ou du mal.
En revanche, le mot amoral est utilisé pour désigner tout ce qui est lié à l’amoralisme, une théorie philosophique née au XIXe siècle, sous l’impulsion de philosophes tels que Max Stirner et Friedrich Nietzsche, et qui, en tant que maxime singulière, propose que le comportement humain soit une question indépendante du mal ou du bien, et ne doit donc pas être analysé en fonction de ceux-ci.
D’une certaine manière, la proposition de l’amoralisme se présente comme une morale alternative dans laquelle la raison et ce qui fait le bonheur de chaque individu priment, car l’idée est fondamentalement de rejeter les conventions sociales telles que les coutumes et les traditions.
Cette tendance n’est en aucun cas opposée au bien, comme on voudrait nous le faire croire en de nombreuses occasions, mais en réalité ce qu’elle propose est quelque chose de simple et loin de tout inconvénient, c’est que les gens vivent selon leur volonté, et pour faire ce qui les rend heureux.
L’un des synonymes les plus utilisés pour le terme en question est immoral, un mot que nous utilisons aussi régulièrement pour faire référence à ce qui est contraire à la morale et aux bonnes coutumes, bien qu’il faille faire une distinction entre les deux synonymes, étant donné que lorsque nous indiquons que quelqu’un est immoral, c’est parce qu’il n’agit pas conformément aux préceptes moraux en vigueur, et donc, dans ce contexte, son comportement sera considéré comme gênant, tandis que quelqu’un d’amoral, n’ayant pas de code moral, ne pourra pas qualifier ses actions de bonnes ou de mauvaises.