Qu’est ce que : Définition du terrorisme médiatique
Contents
- 1 Qu’est ce que : Définition du terrorisme médiatique
- 1.1 Les mots et les images sont des armes très puissantes.
- 1.2 Lorsqu’un média active ce type de mécanisme dans un but caché, on peut parler de terrorisme médiatique. D’une manière générale, la déformation de l’information présente une série de caractéristiques
- 1.3 Le gouvernement vénézuélien se défend des attaques de la presse étrangère et l’accuse de terrorisme médiatique
Lorsque l’on évoque l’idée de terrorisme, des images de destruction et de victimes innocentes nous viennent à l’esprit. Ces épisodes ont un but évident : faire en sorte que la société dans son ensemble ait véritablement peur. Pour provoquer la peur dans la société dans son ensemble, d’autres stratégies sont également employées, qui ne sont pas violentes au sens strict, mais qui peuvent être tout aussi meurtrières. Nous parlons de terrorisme médiatique.
Les mots et les images sont des armes très puissantes.
Les médias ont une fonction sociale : informer les citoyens afin qu’ils puissent avoir leurs propres opinions et critères. Comme dans toute autre profession, il existe aussi dans les médias des intérêts cachés, des manipulations, des mensonges (fake news), des partis pris informatifs et, en bref, des stratégies visant à faire passer des mensonges pour des vérités.
Lorsqu’un média active ce type de mécanisme dans un but caché, on peut parler de terrorisme médiatique.
Lorsqu’un média active ce type de mécanisme dans un but caché, on peut parler de terrorisme médiatique.
D’une manière générale, la déformation de l’information présente une série de caractéristiques
1) Si le contenu d’un reportage est faux, certaines informations peuvent être vraies.
2) Comme tout autre acte de terreur, les médias véhiculent un type de message qui suscite la peur et le malaise dans l’ensemble de la société.
3) Il s’agit d’une stratégie très similaire à la guerre psychologique. Dans toute guerre psychologique, une dualité est générée dans laquelle il n’y a que des bons et des méchants. Dans ce contexte, l’objectif fondamental du terrorisme médiatique est de diaboliser l’adversaire.
4) Les différentes formes de propagande sont l’outil fondamental des professionnels qui pratiquent cette forme de terrorisme non armé.
Le gouvernement vénézuélien se défend des attaques de la presse étrangère et l’accuse de terrorisme médiatique
Dans les médias du monde entier, la réalité vénézuélienne est un sujet d’actualité. Comme à Cuba il y a quelques années, il y a deux camps dans l’actualité : ceux qui défendent les avancées sociales et la lutte révolutionnaire contre ceux qui soulignent les faiblesses économiques et le manque de libertés.
Du point de vue du gouvernement bolivarien, le Venezuela est attaqué de manière illégitime par certains médias qui obéissent aux intérêts des gouvernements de droite.
Pour le mouvement chaviste, les terroristes des médias n’ont qu’un seul objectif : déstabiliser le pays et provoquer un changement de gouvernement. Dans ce contexte, le journaliste terroriste n’agit pas seul, mais est un ‘tueur à gages’ au service d’intérêts qui ne sont pas visibles.
Lorsqu’un média active ce type de mécanisme dans un but caché, on peut parler de terrorisme médiatique.
D’une manière générale, la déformation de l’information présente une série de caractéristiques
1) Si le contenu d’un reportage est faux, certaines informations peuvent être vraies.
2) Comme tout autre acte de terreur, les médias véhiculent un type de message qui suscite la peur et le malaise dans l’ensemble de la société.
3) Il s’agit d’une stratégie très similaire à la guerre psychologique. Dans toute guerre psychologique, une dualité est générée dans laquelle il n’y a que des bons et des méchants. Dans ce contexte, l’objectif fondamental du terrorisme médiatique est de diaboliser l’adversaire.
4) Les différentes formes de propagande sont l’outil fondamental des professionnels qui pratiquent cette forme de terrorisme non armé.
Le gouvernement vénézuélien se défend des attaques de la presse étrangère et l’accuse de terrorisme médiatique
Dans les médias du monde entier, la réalité vénézuélienne est un sujet d’actualité. Comme à Cuba il y a quelques années, il y a deux camps dans l’actualité : ceux qui défendent les avancées sociales et la lutte révolutionnaire contre ceux qui soulignent les faiblesses économiques et le manque de libertés.
Du point de vue du gouvernement bolivarien, le Venezuela est attaqué de manière illégitime par certains médias qui obéissent aux intérêts des gouvernements de droite.
Pour le mouvement chaviste, les terroristes des médias n’ont qu’un seul objectif : déstabiliser le pays et provoquer un changement de gouvernement. Dans ce contexte, le journaliste terroriste n’agit pas seul, mais est un ‘tueur à gages’ au service d’intérêts qui ne sont pas visibles.
2) Comme tout autre acte de terreur, les médias véhiculent un type de message qui suscite la peur et le malaise dans l’ensemble de la société.
3) Il s’agit d’une stratégie très similaire à la guerre psychologique. Dans toute guerre psychologique, une dualité est générée dans laquelle il n’y a que des bons et des méchants. Dans ce contexte, l’objectif fondamental du terrorisme médiatique est de diaboliser l’adversaire.
4) Les différentes formes de propagande sont l’outil fondamental des professionnels qui pratiquent cette forme de terrorisme non armé.
Du point de vue du gouvernement bolivarien, le Venezuela est attaqué de manière illégitime par certains médias qui obéissent aux intérêts des gouvernements de droite.
Pour le mouvement chaviste, les terroristes des médias n’ont qu’un seul objectif : déstabiliser le pays et provoquer un changement de gouvernement. Dans ce contexte, le journaliste terroriste n’agit pas seul, mais est un ‘tueur à gages’ au service d’intérêts qui ne sont pas visibles.