Qu’est ce que : Définition du serment d’Hippocrate
Le ‘Corpus hippocraticum’ est un recueil d’écrits rédigés par Hippocrate de Cos et ses disciples entre le Ve et le Ve siècle avant J.-C. Cet ouvrage est considéré comme l’un des plus anciens traités de médecine de l’histoire. Ces textes contiennent des informations sur différents sujets : anatomie, pathologie et thérapies médicales.D’autre part, l’une de ses parties comprend le célèbre serment d’Hippocrate, un document qui exprime l’engagement éthique qui doit régir la pratique de la médecine. Aujourd’hui, ce texte fait partie du rituel des médecins qui terminent leurs études universitaires. La lecture du serment représente une déclaration des principes de la profession médicale.
Qu’exprime le serment d’Hippocrate ?
Les premières lignes indiquent que le médecin jure par les dieux de respecter les exigences du serment. Il s’ensuit un respect pour la personne qui a été le professeur du médecin. Il est ensuite précisé que la pratique de la médecine doit être orientée vers le soin des malades.
Selon le contenu du serment, le médecin doit jurer sur les dieux.
Selon le contenu du serment, le médecin est tenu aux obligations suivantes :
1) pour guérir les maux des malades,
2) pour éviter la douleur du patient,
3) de ne donner du poison en aucune circonstance,
4) agir avec justice,
5) de ne fournir l’avortement à aucune femme,
6) d’exercer la profession médicale avec une attitude bienveillante,
6) de ne pas entretenir de relations intimes avec les patients, et
7) de maintenir le secret sur la vie des malades.
Éthique et médecine
Le ‘serment d’Hippocrate’ est bien plus qu’un simple document historique. Le fait qu’il soit encore utilisé comme un rituel aujourd’hui est une indication claire de sa valeur en tant que texte. Il convient de garder à l’esprit que la médecine est une discipline aux implications éthiques évidentes. Un médecin possède des connaissances qui pourraient lui permettre de prendre certaines décisions contraires à l’éthique, comme l’incitation au suicide, l’avortement, l’utilisation de substances toxiques, et bien d’autres.
Le premier code d’éthique de l’histoire
De nombreuses professions intègrent aujourd’hui un engagement éthique, connu sous le nom de code de déontologie. Ces codes précisent un certain nombre de questions éthiques : comment un professionnel doit agir, quelles actions sont contraires à sa profession, ou quelles limites ne doivent pas être franchies.
Les différents codes d’éthique actuellement en vigueur ont un précédent datant de deux mille cinq cents ans, le serment d’Hippocrate.
Selon le contenu du serment, le médecin est tenu aux obligations suivantes :
1) pour guérir les maux des malades,
2) pour éviter la douleur du patient,
3) de ne donner du poison en aucune circonstance,
4) agir avec justice,
5) de ne fournir l’avortement à aucune femme,
6) d’exercer la profession médicale avec une attitude bienveillante,
6) de ne pas entretenir de relations intimes avec les patients, et
7) de maintenir le secret sur la vie des malades.
Éthique et médecine
Le ‘serment d’Hippocrate’ est bien plus qu’un simple document historique. Le fait qu’il soit encore utilisé comme un rituel aujourd’hui est une indication claire de sa valeur en tant que texte. Il convient de garder à l’esprit que la médecine est une discipline aux implications éthiques évidentes. Un médecin possède des connaissances qui pourraient lui permettre de prendre certaines décisions contraires à l’éthique, comme l’incitation au suicide, l’avortement, l’utilisation de substances toxiques, et bien d’autres.
Le premier code d’éthique de l’histoire
De nombreuses professions intègrent aujourd’hui un engagement éthique, connu sous le nom de code de déontologie. Ces codes précisent un certain nombre de questions éthiques : comment un professionnel doit agir, quelles actions sont contraires à sa profession, ou quelles limites ne doivent pas être franchies.
Les différents codes d’éthique actuellement en vigueur ont un précédent datant de deux mille cinq cents ans, le serment d’Hippocrate.