Définition du scoop journalistique

Qu’est ce que : Définition du scoop journalistique

Le terme que nous analysons est normalement utilisé dans le domaine du journalisme. En fait, le mot scoop est utilisé dans le secteur des médias pour exprimer qu’un média particulier a été le premier à publier une nouvelle.

Les médias se disputent les scoops

Être le premier dans quelque chose est une aspiration très courante. Le sportif, l’étudiant ou l’homme d’affaires veut être le vainqueur du reste des concurrents. Il en va de même dans le monde du journalisme, car le média qui est le premier à publier une histoire aura ‘battu’ les autres médias rivaux.
Le prestige d’un journaliste ou d’un média dépend, dans une certaine mesure, des scoops qu’il diffuse à la société. Quoi qu’il en soit, lorsque quelque chose de nouveau se produit dans le monde, les médias font la course pour être les premiers à rapporter ce qui se passe.

Différentes façons de comprendre le scoop dans le journalisme

Si un journaliste mène une enquête sur une affaire de corruption politique dans son pays, la parution de la nouvelle dans les médias a un impact social important (déclarations, débats, émissions de débat commentant la nouvelle, etc.) Ainsi, le scoop acquiert une signification particulière dans le journalisme d’investigation. Le scoop traditionnel de la presse écrite a de nouveaux concurrents, les réseaux sociaux. En ce sens, à de nombreuses occasions, la première nouvelle sur un sujet peut apparaître dans un tweet, sur Instagram, Facebook ou tout autre réseau social. On peut dire que ces dernières années, le journalisme conventionnel a perdu son hégémonie traditionnelle.
Parfois, le scoop ne consiste pas à être le premier à diffuser des nouvelles liées au présent, mais à être le premier à parler d’un événement qui se produit depuis un certain temps mais qui n’a pas encore été traité du point de vue de l’actualité.

Dans un sens religieux

Dans un sens religieux, les premiers fruits sont compris comme les offrandes qui étaient faites dans les temps anciens pour plaire aux dieux. Dans ce sens, la plupart des peuples anciens célébraient les premières récoltes de l’année en faisant une sorte d’offrande (par exemple, un animal ou une partie de la récolte) à la divinité que le peuple considérait comme son bienfaiteur, par exemple la Terre Mère dans les cultures précolombiennes.