Qu’est ce que : Définition du mal
Le mal est le terme à partir duquel on désigne l’inclination spontanée d’une personne à causer du mal à d’autres individus ou êtres vivants.
L’inclinaison d’une personne vers le mal
Le mal désigne l’absence totale de bien et de bonté qui existe dans une personne ou un être.
Un sujet négatif dont il faut se détourner
Depuis le début de l’humanité, le mal est considéré comme une réalité dont il faut se détourner parce qu’il n’apporte rien de positif, mais plutôt le contraire.
C’est donc à partir de cette conception que pratiquement toutes les religions qui existent dans le monde proposent à leurs adeptes de s’éloigner du mal ou de l’une quelconque des formes qu’il peut prendre, et en retour elles promeuvent de se rapprocher du bien pour le combattre définitivement, en quelque sorte elles empruntent la voie du bien comme antidote efficace contre le mal et la méchanceté.
Une prédisposition naturelle et innée, ou un événement qui la déclenche.
Il convient de noter que la tendance susmentionnée à pratiquer le mal pour nuire à autrui peut être une caractéristique inhérente à l’individu, c’est-à-dire qu’elle fait partie de sa personnalité et qu’elle se manifestera dans chaque comportement et action qu’il déploie, ou bien elle peut être déclenchée par une situation particulière qui finit par générer chez une personne un acte de malveillance, mais il est clair qu’il n’y a pas une tendance constante à exercer le mal, un événement spécifique déclenche ce comportement perturbateur. L’individu qui présente le mal se caractérisera surtout par le fait qu’il n’aura pas de sentiments d’affection, de gentillesse, de tendresse, d’empathie pour l’autre qui souffre, entre autres émotions positives, mais au contraire, un sentiment d’aversion absolue envers tout ce qui l’entoure prévaudra, ce qui le conduira à se comporter de la manière la plus froide et la plus insensible qui soit.
Action qui cause un préjudice à autrui
De même, une action qui, en soi, est mauvaise et cause du tort à autrui est appelée le mal.
L’un des synonymes que nous utilisons normalement pour remplacer le concept de mal est celui de perversité, qui est également utilisé de manière récurrente lorsque nous voulons rendre compte d’un mal très grand et délibérément provoqué.
Le revers de la médaille : la bonté
Le concept qui s’oppose directement à celui du mal est celui du bien, qui implique la tendance naturelle à la réalisation du bien.
La disposition au mal prédispose une personne à être mauvaise, ce que la société appréciera et appellera, tandis que la personne qui fait le bien, en pratiquant la bonté et la solidarité, sera désignée comme bonne.
Le mal contre le bien
Le mauvais et le bon sont des concepts qui s’opposent donc l’un à l’autre et qui sont souvent utilisés dans le but de persuader un collectif social à l’égard d’une personne ou d’un groupe qui ne partage pas leur façon de penser ou d’agir.
La politique utilise beaucoup cette stratégie consistant à diaboliser et à étiqueter un leader politique comme mauvais afin de faire en sorte que l’électorat le craigne, et ainsi lui retirer des votes ou son intention.
Dans la fiction, il est également très courant de voir la confrontation entre les bons et les méchants.
Dans les feuilletons traditionnels, il y aura toujours un personnage principal associé au bien, et un autre personnage associé au mal, qui rendra la vie impossible, et dont chaque action aura pour but de mettre des obstacles et de compliquer la poursuite du bonheur du bon protagoniste.
Normalement, le public a de l’empathie pour les bons et non pour les méchants, tant dans la vie réelle que dans le monde fictif, qu’il croit même être le mal personnifié et qu’il a tendance à attaquer hors écran s’il les croise dans la vie en dehors de l’histoire fictive.
Dans les bandes dessinées et les films de super-héros, la présence de personnages qui se consacrent à la création du mal, et d’autres qui cherchent à le combattre à tout prix, en pratiquant évidemment le bien, en développant de bonnes actions qui contrecarrent les mauvais actes que les méchants sèment sur leur passage, est également très marquée.
Un exemple emblématique de ce type d’histoire est la confrontation historique entre le super-héros Batman et le vilain Joker.