Définition du droit fiscal

Qu’est ce que : Définition du droit fiscal

Le droit fiscal, également appelé concept de droit fiscal, fait partie intégrante du droit public, lui-même inséré dans le droit financier, et s’occupe d’étudier les lois à partir desquelles le gouvernement local manifeste son pouvoir fiscal avec la mission d’obtenir à travers lui des revenus économiques des citoyens et des entreprises, et qui sont celles qui lui permettront de couvrir les dépenses publiques de tous les domaines de l’État.En d’autres termes, grâce à ce que l’on appelle les impôts, qui sont des obligations monétaires soutenues par la loi, l’État obtient de l’argent pour soutenir et maintenir les différents domaines qui le composent : l’administration publique, et d’autre part, garantit aux citoyens la satisfaction et l’accès à des services tels que : la sécurité, la santé, l’éducation, parmi les principaux.
Le paiement d’un impôt n’impliquera pas, pour ceux qui le paient, une contrepartie d’effet immédiat de la part de l’État, mais ce qu’il garantira, c’est que la personne aura accès à l’éducation et à la santé publiques et jouira également de la protection fournie par les forces de sécurité nationales, justement soutenues économiquement par les impôts imposés par l’État.
Il existe différents types de taxes : internes (ils sont prélevés dans la nation en question, dans les provinces, les municipalités, les villes, comme la taxe sur la valeur ajoutée (TVA), le revenu brut, l’impôt sur le revenu, entre autres), externes (ils sont le résultat des importations, c’est-à-dire de l’entrée de biens et de services dans un pays), directs (parce qu’ils sont appliqués directement et ont un impact sur le revenu ou la propriété), indirectes (elles touchent d’autres personnes que le contribuable, c’est-à-dire que l’impôt est payé par ceux qui reçoivent ou achètent des biens), réelles et objectives (elles sont prélevées sur les individus sans tenir compte des conditions personnelles), personnelles ou subjectives (elles tiennent compte de la capacité contributive des individus, en prenant en considération les revenus qu’ils perçoivent et le patrimoine qu’ils possèdent).