Si une personne a l’habitude d’aider ou de collaborer avec les autres, il s’agit d’un individu au comportement prosocial. Ainsi, on pourrait dire qu’elle comprend ce qui cherche à générer des actions positives au profit d’autrui. Par conséquent, un comportement agressif, égoïste ou nuisible est contraire à ce type de pensée.
Le désir de favoriser les autres au détriment de son propre intérêt.
Lorsque nous agissons dans la vie quotidienne, beaucoup de nos actions ont deux voies possibles :
1) agir dans son propre intérêt ou
2) agir en pensant aux autres.
Les actions du premier type sont égoïstes et les actions du second type sont altruistes. Les deux doivent être faits de manière équilibrée. Il serait absurde de se comporter en ayant toujours à l’esprit le gain personnel, car ce type de comportement suscite le rejet des autres et finit par provoquer un isolement social. De même, si nos décisions sont orientées uniquement vers les autres, nous pouvons nous-mêmes finir par être lésés.
Les comportements de ce type dépendent du comportement des autres.
Les comportements sur cette ligne dépendent de nombreux facteurs
Si une personne n’a pas reçu une bonne éducation, vit dans un contexte violent et avec peu de références morales, il est très probable qu’elle ne se comportera pas de manière prosociale. D’une manière générale, le comportement antisocial se manifeste chez un individu lorsqu’il manque de repères moraux dans son environnement personnel. Afin de prévenir les comportements antisociaux, il est nécessaire de favoriser un contexte social approprié. Tout d’abord, un environnement familial sain et aimant. Deuxièmement, un environnement social respectueux et non-violent. Bien entendu, l’éducation reçue à l’école est un facteur déterminant, car c’est dans le processus éducatif que sont acquises les valeurs et les normes essentielles à l’intégration de l’individu dans la société dans son ensemble.
Le machisme, les brimades, les agressions verbales ou physiques sont des exemples de comportements antisociaux. Pour empêcher ces comportements de se produire, l’intervention directe de la société dans son ensemble est nécessaire.
Certains animaux ont aussi ce genre de comportement
Les animaux tels que les fourmis, les dauphins, les pingouins ou les chimpanzés ont un comportement social. Cela signifie que le comportement de ces espèces n’est pas exclusivement orienté vers leur propre intérêt.
Si nous prenons les manchots comme référence, ils collaborent les uns avec les autres pour se défendre contre les prédateurs et vivent en groupes familiaux pour agir en équipe. Ces stratégies sont purement instinctives, mais c’est grâce à elles que les animaux peuvent survivre.
Les comportements sur cette ligne dépendent de nombreux facteurs
Si une personne n’a pas reçu une bonne éducation, vit dans un contexte violent et avec peu de références morales, il est très probable qu’elle ne se comportera pas de manière prosociale. D’une manière générale, le comportement antisocial se manifeste chez un individu lorsqu’il manque de repères moraux dans son environnement personnel. Afin de prévenir les comportements antisociaux, il est nécessaire de favoriser un contexte social approprié. Tout d’abord, un environnement familial sain et aimant. Deuxièmement, un environnement social respectueux et non-violent. Bien entendu, l’éducation reçue à l’école est un facteur déterminant, car c’est dans le processus éducatif que sont acquises les valeurs et les normes essentielles à l’intégration de l’individu dans la société dans son ensemble.
Le machisme, les brimades, les agressions verbales ou physiques sont des exemples de comportements antisociaux. Pour empêcher ces comportements de se produire, l’intervention directe de la société dans son ensemble est nécessaire.
Certains animaux ont aussi ce genre de comportement
Les animaux tels que les fourmis, les dauphins, les pingouins ou les chimpanzés ont un comportement social. Cela signifie que le comportement de ces espèces n’est pas exclusivement orienté vers leur propre intérêt.
Si nous prenons les manchots comme référence, ils collaborent les uns avec les autres pour se défendre contre les prédateurs et vivent en groupes familiaux pour agir en équipe. Ces stratégies sont purement instinctives, mais c’est grâce à elles que les animaux peuvent survivre.