Qu’est ce que : Définition des mineurs
Le terme mineurs correspond au pluriel du mot mineur. Mineur est un mot utilisé principalement comme adjectif et se réfère à plus petit et plus petit qu’un autre, ou ayant moins de quantité qu’une autre chose du même genre. ‘Le magasin de John fait de la vente au détail ; Laura est la plus jeune des cinq sœurs’.
Les personnes qui n’ont pas atteint l’âge de la majorité.
A cette question correspond le fait que le terme mineur, en plus d’être utilisé pour rendre compte de ce qui précède, s’avère être la manière la plus populaire de se référer aux individus qui n’ont pas encore atteint l’âge de la majorité, les mineurs, pour être plus précis par rapport à leur dénomination formelle. Les personnes sont considérées comme mineures de la naissance à l’âge de 21 ans, c’est-à-dire l’âge de la majorité dans la plupart des pays.
L’âge de la majorité implique qu’à partir de ce moment, une personne est considérée comme capable de prendre des décisions et de se débrouiller seule, sans la surveillance correspondante et constante des adultes dont elle a la charge. Quels que soient les pays et la législation en vigueur dans chacun d’entre eux, les mineurs, parce qu’ils ne sont pas adultes et se trouvent dans une phase de croissance et de maturation, doivent être protégés par certains droits afin que cette croissance se déroule dans le meilleur climat de bien-être possible.
Mais les mineurs ne sont pas seulement des enfants, mais dans la catégorie des mineurs, on trouve aussi les adolescents et les jeunes, c’est-à-dire que l’âge de la minorité s’étend, comme nous l’avons déjà signalé, de la naissance de la personne jusqu’à, maintenant cela dépend de chaque législation particulière, 18 ou 21 ans, selon la partie du monde dans laquelle ils se trouvent.
Les parents, responsables du mineur
Fondamentalement, cette détermination légale établit que tant que la personne se trouve à ce stade, les personnes les plus responsables, généralement les parents, doivent prendre en charge ses besoins, étant donné son manque de maturité pour y faire face et aussi pour prendre certaines décisions.
Pour cette même raison, il est strictement interdit aux mineurs de travailler tant qu’ils n’ont pas atteint l’âge de la minorité, et ils doivent également recevoir de la nourriture, un lieu de vie décent, une éducation et une protection sanitaire de base.
Le mineur ne peut pas non plus prendre de décisions pour sa propre vie, comme se marier, conduire une voiture, jouer, boire des boissons alcoolisées, voyager, devenir indépendant, créer une entreprise, entre autres. Lorsque le mineur veut accéder à l’un d’entre eux, il doit le faire avec l’autorisation correspondante d’une autorité compétente.
L’âge de la majorité, qui, comme nous l’avons déjà vu, s’oppose à l’âge de la minorité, implique la présomption légale que la personne, à 18 ou 21 ans, est déjà capable de prendre des décisions par elle-même et d’agir en conséquence de celles-ci, avec les causes que cela implique également. À partir de l’âge de la majorité, le nombre d’actes qu’une personne peut accomplir sans l’aide ou l’assistance de ses parents augmente, alors qu’auparavant, comme nous l’avons déjà souligné, ils lui étaient interdits en tant que mineur.
Cette responsabilité qu’une personne est présumée avoir à l’âge de la majorité implique bien sûr d’assumer la responsabilité des actes qu’elle entreprend, même ceux qui sont hors la loi, c’est-à-dire qui contreviennent aux normes juridiques d’un pays. Dans ce cas, il devra répondre de ses actes devant la justice et sera puni dans toute la mesure de la loi.
En revanche, lorsque c’est le mineur qui transgresse la loi, de nombreuses législations n’envisagent pas la possibilité d’être inculpé et donc puni, et ce sont alors les parents qui devront répondre pénalement des actes illicites dans lesquels leurs enfants ont été impliqués.
Membre de l’ordre franciscain
En revanche, la notion de mineur est utilisée dans le domaine religieux pour désigner une personne qui appartient à l’ordre de Saint-François, un ordre mendiant créé au XIIIe siècle par le religieux François d’Assise.