Définition des gains en capital

Qu’est ce que : Définition des gains en capital

La plus-value est un mot utilisé dans notre langue pour désigner l’augmentation de la valeur d’une chose due à des causes extérieures.

Augmentation que subit un bien ou un objet en raison de causes extérieures.

‘La maison de mes parents a subi une augmentation de valeur car le quartier de Palerme est devenu un centre gastronomique et commercial très rentable, ce qui a augmenté la valeur des propriétés de la zone’.
C’est un terme qui a été développé par la théorie économique et qui, étymologiquement, fait référence à plus de valeur.
Donc, la succession de faits, d’événements qui ne sont pas liés à une chose, ou qui font qu’elle subit une augmentation de sa valeur et donc de l’intention des gens de vouloir la posséder.
L’exemple de la propriété que nous venons de donner est l’un de ceux qui illustrent le mieux le concept que l’on appelle souvent la plus-value.
Au moment du processus de production, la valeur sera créée par la force de travail intervenante ; si cette force de travail n’intervient pas sur la matière première, pour la modifier et ainsi générer un produit, elle n’aura aucune valeur.

Communisme : l’argent qui est accumulé par le capitalisme au détriment des efforts des travailleurs.

En revanche, pour le communisme, la plus-value est constituée de l’argent accumulé par la classe capitaliste au détriment des efforts consentis par les travailleurs.

Concept développé par l’économiste David Ricardo et repris par Marx, qui cherche à le supprimer car il privilégie le capitalisme au détriment des travailleurs.

Il convient de noter que l’origine de ce mot remonte à deux siècles, au XIXe siècle, et que c’est plus précisément le philosophe allemand et créateur du marxisme, Karl Marx, qui l’a diffusé.
Selon les idées de Marx, la plus-value consiste en l’accumulation d’argent par la classe capitaliste grâce aux efforts fournis par le travailleur.
Parce que le travailleur reçoit un certain salaire en paiement de l’activité qu’il exerce, mais bien sûr, il y a une valeur supplémentaire, supérieure, que le salarié travaille et pour laquelle il n’est pas payé, et celui qui finit par la recevoir est le propriétaire des moyens de production, le capitaliste, en termes d’idéologie marxiste.
Marx considère que chaque produit a une valeur qui est étroitement associée au temps de travail nécessaire pour le produire.
La force de travail est comprise par Marx comme une marchandise dont le prix sera lié à ce dont le travailleur a besoin pour vivre dans la dignité.
Or, si un salarié ne travaille que cinq heures par jour pour satisfaire ses propres besoins et ceux de son entourage, mais que son employeur le fait travailler dix heures, il y aura cinq heures qui constituent la plus-value de l’employeur, qui les prend précisément, les utilise à son profit et continue ainsi à augmenter son capital.
Pour le dire plus clairement, la plus-value est simplement de l’exploitation aux yeux du marxisme.
On ne peut ignorer que c’est David Ricardo, l’économiste anglais, figure de proue de l’économie classique et pionnier de la macroéconomie, qui a théorisé le premier ce concept et qui a fini par influencer Marx.
Ricardo est un économiste qui a été invoqué et lu par des économistes de racines diverses et antagonistes, par exemple, quelqu’un comme Marx, idéologiquement situé aux antipodes, a étudié sa théorie et même sa synthèse sur la plus-value a certainement fini par l’influencer et est celle qui lui a permis de conclure qu’elle nuit considérablement aux travailleurs et profite directement au capitalisme.
Marx considérait la plus-value comme une formidable injustice sociale car même si les produits génèrent d’énormes bénéfices, le salarié ne recevra pas plus d’argent, plus de salaire pour cela, loin de là, mais le surplus d’argent finira dans les mains des capitalistes.
Les entrepreneurs, selon Marx, devenaient très riches au détriment des efforts des autres, et il considérait donc ce système comme extrêmement injuste.
En conséquence, le marxisme prône la disparition de la plus-value et, en contrepartie, propose que les travailleurs, sous l’impulsion d’une coopérative, deviennent les propriétaires des forces de production.
Les deux synonymes que nous utilisons le plus fréquemment à la place de ce concept, qui, il faut le dire, n’est pas si fréquent dans la langue, sont ceux d’augmentation et de valorisation.