Qu’est ce que : Définition de l’indifférence
Le terme indifférence fait référence à l’état d’esprit vécu par les êtres humains, qui se caractérise essentiellement par une absence d’attirance ou de rejet, selon le cas, pour les choses et les personnes qu’ils rencontrent et avec lesquelles ils interagissent dans le monde qui les entoure. La plupart du temps, cependant, cet état sera le produit d’une agression ou d’une attaque antérieure par une autre personne.En général, il est courant que lorsqu’une personne veut punir une autre personne pour une attitude qu’elle n’a pas appréciée et qui, bien sûr, l’a beaucoup ennuyée, au lieu de crier, de se battre ou de se disputer à ce sujet, elle choisit d’adopter cet état d’esprit qui ne montre aucune sorte de sentiment ou d’émotion envers l’autre personne qui a causé le dommage, c’est-à-dire ce que l’on appelle communément tuer avec indifférence. Ce dicton ou cette phrase très populaire dans le monde, ce qu’il promeut c’est que dans une situation comme celle décrite, la meilleure vengeance ou la meilleure réponse à une personne qui nous a fait du mal sera précisément de l’ignorer, de faire comme si ses dires et ses attitudes n’existaient pas pour nous. On pense généralement que l’indifférence est l’une des meilleures thérapies pour les personnalités qui aiment ou prennent plaisir à soumettre les autres à des situations ridicules, difficiles, dangereuses ou indignes. Parce que ceux qui adoptent une attitude d’indifférence supposent, et ils ne sont pas très loin de la vérité, que lorsqu’une personne est reléguée au néant même, réduite à zéro, à l’insignifiance même, presque comme pour lui dire en face que vous n’êtes rien, alors ce sera la meilleure réponse plutôt qu’un cri, parce que pour ce type de personne omnipotente, arrogante et satisfaite d’elle-même, il n’y aura rien de pire au monde que d’être ignorée par une autre et réduite à une quasi-inexistence.
Cette raison est probablement à chercher dans le fait que la nature de l’homme étant sociale, nous ne tolérons généralement pas l’absence du regard de l’autre sur nous, sur ce que nous faisons ou sur ce que nous disons, car c’est une sorte d’incitation à l’estime de soi.