Qu’est ce que : Définition de l’impôt
Le mot impôt est désigné par le mot taxe à ce tribut ou charge que les individus vivant dans une certaine communauté ou pays doivent payer à l’état qui les représente, de sorte que l’état, à travers ce paiement et sans exercer aucun type de considération comme conséquence du même, puisse financer ses dépenses, en premier lieu et aussi, selon l’ordre de priorités qui conduit et promeut, par exemple, les travaux publics tendant à satisfaire les demandes des secteurs les plus pauvres et sans ressources, entre autres questions. Il s’ensuit que l’objectif fondamental de la fiscalité sera de financer les dépenses d’un État donné.Le principe directeur de la fiscalité est celui de la capacité contributive, ce qui signifie que la valeur de l’impôt sera déterminée par le revenu qu’une personne perçoit, c’est-à-dire que, conformément aux principes constitutionnels d’équité et de solidarité sociale, plus le revenu est élevé, plus l’individu doit payer, et inversement, moins une personne a d’argent, moins elle doit payer d’impôt à l’État. Malheureusement, à l’heure actuelle, il est très difficile que cela existe, car dans de nombreux pays, ces principes ne sont pas du tout pris en compte, donnant la priorité à d’autres questions sur les préceptes constitutionnels susmentionnés, telles que : l’augmentation des revenus, le boycott de l’achat d’un certain produit ou le découragement de certaines activités économiques.
On peut distinguer deux types d’impôts, directs et indirects. Un impôt direct est un impôt qui taxe les sources de la capacité économique telles que le revenu ou la richesse, et un impôt indirect est un impôt qui taxe la consommation et les dépenses.
Une taxe se compose des éléments suivants : le fait générateur de l’impôt, qui est la circonstance qui donne lieu à l’obligation fiscale conformément à ce qui est établi au préalable par la loi, l’assujetti ou la personne physique ou morale qui est obligée de payer en fonction de ses moyens, la base imposable, qui est l’évaluation et la quantification du fait générateur de l’impôt, le taux d’imposition, qui est la proportion qui est appliquée à la base imposable pour calculer le montant de l’impôt à payer, la dette fiscale, qui est le montant qui représente le prélèvement, et la dette fiscale, qui est le résultat de la réduction du montant avec des déductions ou de son augmentation avec des majorations, par exemple, lorsque nous dépassons la date d’échéance prévue pour tel ou tel impôt, cette dernière interviendra.