Qu’est ce que : Définition de la faim
Absence d’apport alimentaire pendant une période prolongée. Dans notre langage, nous constatons que le terme faim peut avoir deux références principales : tout d’abord, il est utilisé pour faire référence à la sensation ressentie après une certaine période depuis la dernière consommation d’aliments, variant selon chaque personne, selon le type d’aliments consommés, selon les conditions spécifiques de la situation et selon d’autres éléments. En d’autres termes, compte tenu des conditions susmentionnées, et après avoir passé une longue période sans manger, il est courant et très fréquent que les personnes et les animaux aient faim.Il existe des symptômes typiques qui nous alertent, anticipent les gens que nous avons faim et qu’il est temps de s’asseoir pour manger quelque chose, parmi eux : une sensation de creux et de vide dans l’estomac, des maux de tête, une faiblesse, surtout si cela fait longtemps, et certaines personnes peuvent ressentir une forte mauvaise humeur parce qu’elles n’ont pas mangé depuis longtemps.
Au-delà de ces problèmes qui peuvent se manifester physiquement, il faut souligner que la nourriture est très importante pour les personnes car c’est ce qui nous donne de l’énergie pour affronter les différentes activités que nous avons habituellement au cours de la journée, il est donc très important de respecter l’horaire de chaque repas : petit-déjeuner, déjeuner, collation et dîner. Nous aurons une vie saine et aussi une performance satisfaisante dans nos actions. Faim de la population due au manque d’opportunités et de ressources économiques
D’autre part, le mot faim est largement utilisé dans notre langue avec une connotation sociale et un sens très général en relation avec la condition d’extrême pauvreté, de misère et de malnutrition dont souffre une grande partie de la population mondiale en raison du manque d’aliments dont nous avons parlé et qui, comme nous l’avons dit, sont essentiels pour la subsistance et pour être performant dans tout ce que nous entreprenons.
Lorsqu’on dit que telle ou telle population du monde souffre de la faim, c’est parce qu’elle n’a pas accès aux aliments de base, pourtant essentiels en raison de leur teneur en nutriments. Les aliments de base fournissent des calories à une personne et contiennent généralement des glucides.
La sensation de faim ou de manque de nourriture dans le corps est l’une des sensations les plus fondamentales, non seulement chez l’homme mais chez tout être vivant. En ce sens, satisfaire ce vide causé par le manque de nourriture est ce qui nous permet de poursuivre notre existence de manière normale, et la nourriture est considérée comme l’un des besoins les plus primaires et vitaux. Normalement, on dit que la faim apparaît de manière significative quatre heures après le dernier repas, et cette sensation s’accentue au fur et à mesure que les heures passent et que le manque de nourriture se poursuit.
Toutefois, dans des situations peu courantes, la sensation de manque de nourriture et de faim peut apprendre à être tolérée pendant des périodes plus longues (sans toutefois être éliminée).
La sensation de faim est principalement le résultat de l’action que certaines glandes et leurs substances (comme l’hypothalamus) provoquent dans notre cerveau. De cette manière, des signaux sont envoyés à l’organe cérébral qui signalent la nécessité de consommer des aliments face à une détérioration (plus ou moins importante) de certaines conditions de ‘normalité’.
Un fléau croissant
La faim, en tant que concept social et pandémie, est sans aucun doute l’un des problèmes les plus graves de notre planète aujourd’hui. Selon des études réalisées par des institutions responsables (comme l’ONU), la malnutrition et la faim sont l’une des principales causes de décès dans le monde, une situation qui touche des milliards de personnes, ainsi que de vastes régions de la planète. L’inégalité dans l’accès à la nourriture, aux moyens de production et à une nutrition appropriée en fonction des besoins spécifiques de chaque type d’individu est évidente.
L’aspect le plus curieux et le plus regrettable de cette situation que, comme nous venons de le souligner, plusieurs régions et nations de notre planète traversent, c’est qu’elle a généralement lieu dans des endroits où la production alimentaire est importante, de sorte que le fait que des enfants et des personnes en général meurent de faim dans ces contextes est une véritable calamité qui ne peut être ni crue ni comprise.
En ce sens et sans aucun doute, la principale responsabilité incombe à l’État, normalement un État absent qui ne se préoccupe pas comme il le devrait de réaliser une distribution équitable des richesses et des opportunités. Il est inacceptable et inadmissible que dans un pays producteur de nourriture, des gens meurent par manque de nourriture.