Définition de la capacité

Qu’est ce que : Définition de la capacité

Faculté naturelle manifestée à l’égard d’une activité, de niveau physique ou intellectuel, avec laquelle elle naît, s’incorpore, se pratique et/ou se potentialise qui distingue l’unicité de la personne. Étymologie : des modes latins habilĭtas, habilĭtātis….. Cat. grammatical : Nom féminin.
En syllabes : ha-bi-li-dad.

Capacité

L’aptitude est l’aptitude innée, le talent, la compétence ou la capacité qu’une personne possède pour mener à bien, et bien sûr avec succès, une certaine activité, un certain travail ou un certain métier. Toutes les personnes se distinguent par une certaine forme d’aptitude. Si nous ne sommes pas tous pareils, ne venons pas du même endroit et n’aimons pas tous les mêmes choses, nous n’avons pas tous les mêmes compétences pour les mêmes choses, c’est pourquoi il existe, par exemple, une diversification des tâches et des emplois.
Il y a des personnes qui possèdent et démontrent une propension à développer des aptitudes physiques, soit parce qu’elles ont une génétique formidable, une résilience qui leur permet de le faire, et surtout dans ce sens, un certain talent particulier, par exemple, un footballeur qui vit avec un ballon au pied ou comme on dit au sens figuré, ‘attaché’, ‘jouant des jeux’. Ces capacités physiques sont généralement appelées ‘compétences’. Pour les modèles actuels d’analyse neuronale, on postule que cette capacité physique, généralement innée, doit être améliorée par une pratique fréquente pour donner lieu à l’exploitation d’une forme d’intelligence qui diffère du concept conventionnel de ce terme. Il y a ensuite ceux qui, par exemple, n’ont pas ces aptitudes physiques qui caractérisent la pratique d’activités sportives, mais qui ont une capacité incroyable pour les nombres ; par exemple, ces individus qui peuvent facilement estimer combien de balles vont dans un sac, mais pas comment en botter une seule dans le but. Ce type d’aptitude avec les chiffres, qui nécessite l’intervention de l’intelligence formelle, est connu sous le nom d’aptitude. Ce pouvoir intellectuel, comme les compétences physiques, doit être amélioré et augmenté par la pratique et l’entraînement. De nombreux individus ont un formidable potentiel dans l’un de ces domaines, mais une pratique insuffisante réduit considérablement les performances.
La compétence ou le talent peut également être entre les mains d’un individu, par exemple, la couture est un talent. Les talents peuvent être hérités : la mère d’Anne est une excellente couturière, Anne aura donc de bonnes chances d’hériter de la capacité à coudre. Il est également possible d’apprendre un talent, bien qu’il soit clair que, dans ce cas et contrairement à ce qui se passe avec les personnes qui en possèdent un de manière innée, celui qui apprend à faire quelque chose doit toujours le pratiquer, car l’absence de pratique au fil du temps entraîne l’oubli.
Il convient de noter que certaines compétences ne s’acquièrent que par l’apprentissage. Il est représenté par ce que l’on appelle un programme moteur ou, en termes techniques, un engramme moteur. L’exemple le plus caractéristique est la capacité de conduire un véhicule. Pour cela, il faut une coordination minutieuse des quatre membres, la vision, l’ouïe, l’équilibre, l’intelligence et le contrôle des émotions. Ces tâches, à leur tour, doivent être amalgamées dans le bon dosage et au bon moment.
Après la pratique initiale du conducteur novice, la capacité à conduire un véhicule à moteur est ‘gravée’ sous la forme de circuits neuronaux qui confèrent praticité et automaticité aux mouvements. Par conséquent, la conduite d’un véhicule est une capacité qui ne représente pas strictement une compétence, un talent ou une aptitude, mais une conjonction de variables dans laquelle tous ces éléments contribuent à un degré plus ou moins élevé. C’est pourquoi certains individus ne parviennent jamais à conduire, tandis que d’autres acquièrent une compétence suffisante pour conduire un véhicule de tourisme ou de compétition.