Définition de Inimputable

Qu’est ce que : Définition de Inimputable

On appelle imputable l’individu qui est exonéré de responsabilité pénale, c’est-à-dire qui ne peut en aucun cas être puni par la législation en vigueur, parce qu’il est incapable de comprendre l’illégalité d’un acte punissable qu’il a commis.

Une personne qui ne peut être accusée pénalement d’un acte criminel parce qu’elle n’est pas en mesure de comprendre le caractère illicite de cet acte.

Normalement, les personnes qui souffrent d’une maladie mentale, d’un retard mental, les mineurs, entre autres alternatives, seront considérés comme irresponsables.
Par ailleurs, l’imputabilité est l’ensemble des circonstances prévues par la loi, qui permettent d’établir une relation de cause à effet entre un événement criminel et le sujet considéré comme responsable de celui-ci, par conséquent, l’absence des circonstances susmentionnées déterminera un scénario d’imputabilité, même et malgré le fait d’avoir prouvé l’acte criminel et la paternité de la personne imputable, elle ne sera pas considérée comme pénalement responsable de celui-ci.

La folie mentale, la légitime défense et la minorité d’âge, les causes les plus fréquentes d’irresponsabilité.

Par exemple, lorsqu’une personne souffrant d’une maladie mentale quelconque commet un crime, tel qu’un meurtre, une fois que le système judiciaire a vérifié de manière fiable sa situation, il est très probable que, dans la sentence légale, elle sera déclarée inapte à comprendre que ce qu’elle a commis est un meurtre et sera donc envoyée dans un hôpital ou une clinique psychiatrique pour y être internée, car bien qu’elle ne puisse pas être envoyée en prison, elle ne peut pas rester libre, car elle est une personne dangereuse pour elle-même et aussi pour l’environnement qui l’entoure.
Cela garantit son traitement et l’isole du reste de la société afin qu’il ne puisse pas causer de problèmes plus graves.
D’autre part, l’âge est un autre élément qui atténue ou diminue l’irréfutabilité d’une personne. Par exemple, si un enfant de 7 ans seulement a tué une personne, cette circonstance sera certainement prise en compte dans l’évaluation de l’affaire, car il s’agit d’un mineur qui n’a peut-être pas la pleine conscience de ce qu’il a fait.
Et dans tous les cas, il ne sera pas jugé, et encore moins condamné à la prison, même si l’acte qu’il a commis est aussi grave qu’un meurtre.
Dans certaines législations, les parents des enfants qui commettent des infractions sont pénalement responsables, c’est-à-dire qu’ils doivent assumer la culpabilité dans le cas approprié.
Selon le cas, les jeunes délinquants sont placés dans des institutions spéciales pour leur réhabilitation.
D’autre part, si une personne est particulièrement motivée par la nécessité de sauver sa propre vie, c’est-à-dire qu’elle tue son agresseur, cela est également pris en compte comme une circonstance atténuante lors de l’évaluation de sa culpabilité ou non.
En d’autres termes, si quelqu’un assassine quelqu’un d’autre dans le cadre de ce qu’on appelle la légitime défense, la loi décidera sûrement de l’exempter de toute culpabilité et de toute accusation et il ne sera pas emprisonné et ne recevra pas de peine, dans les cas où il est prouvé qu’il a agi en légitime défense, pour sauver sa propre vie et celle de son entourage qui était certainement menacé par un criminel.
De tels cas sont devenus monnaie courante dans de nombreuses sociétés, notamment dans celles où la criminalité et l’insécurité se sont développées.
Des citoyens ordinaires, afin de se protéger contre la vague d’insécurité qu’ils connaissent, achètent des armes à feu, deviennent des utilisateurs légitimes, et il est donc courant d’entendre dans les médias que certaines de ces personnes ont utilisé cette arme pour défendre leur vie lorsqu’elles ont été victimes d’un vol.

Voix pour et contre l’utilisation d’armes à feu par les citoyens

Autour de cette question de l’utilisation des armes à feu, il y a beaucoup de controverses et évidemment des voix pour et contre l’utilisation des armes à feu.
Ceux qui s’y opposent font valoir que le fait de permettre à n’importe qui d’avoir accès à des armes à feu ne fera pas qu’augmenter la criminalité, mais pourrait également conduire à une mêlée générale dans la société en question, où chaque confrontation est réglée par des armes à feu.
Alors que ceux qui défendent cette position affirment que personne ne peut leur retirer le droit de se défendre légitimement contre une attaque.