Qu’est ce que : Définition de Indivisible
Ce qui ne peut être divisé est appelé indivisible. Par ailleurs, par diviser, on entend l’action de diviser ou de séparer en parties, ou de distribuer, de répartir entre plusieurs quelque chose qui peut être séparé en portions.
Ce qui ne peut être divisé
Ainsi, ce qui est indivisible ne peut être divisé sans altérer son essence, par exemple, une chaise est indivisible, car si nous la coupons en deux, elle ne servira plus de chaise et perdra complètement la fonction qu’elle avait. En d’autres termes, il est physiquement possible de diviser la chaise, mais après l’avoir fait, elle ne sera plus ce qu’elle était, une chaise, mais deviendra des morceaux de bois ou de tout autre matériau dont elle est faite.
Outre une chaise, une table, un stylo ou un téléphone portable, les êtres humains sont également indivisibles, nous ne pouvons en aucun cas être divisés en deux parties, ce n’est qu’après la mort qu’un être humain peut être divisé.
En revanche, pour la loi, l’indivisible est tout ce qui ne peut être divisé.
L’indivisibilité est une situation qui se présente lorsqu’il est impossible de diviser une chose ou lorsque la division modifie une aptitude qui ne permet pas à la chose de remplir sa finalité ou l’activité qui l’a fait naître en tant que telle.
Ainsi, un chien, une personne ou une œuvre artistique sont considérés comme indivisibles car ils ne peuvent pas être divisés entre les parties, ils doivent être partagés selon ce que la loi impose ou ils doivent sacrifier leur intérêt.
Les droits de l’homme sont indivisibles et s’influencent mutuellement.
Par ailleurs, il faut dire que ce concept est normalement utilisé en association avec un autre concept tel que les droits de l’homme, l’indivisibilité étant l’une des caractéristiques fondamentales de ces droits.
En droit, on affirme que les droits de l’homme sont indivisibles, étant donné qu’ils constituent un tout inhérent à la condition humaine, ce qui implique que certains de ces droits ne peuvent être respectés et d’autres non, mais que tous dans leur ensemble doivent être également respectés et observés.
Les droits de l’homme s’appliquent à tous les êtres humains sans distinction de nationalité, de lieu de résidence, de race, de sexe, de religion, entre autres, car ils sont liés entre eux, interdépendants et, comme nous l’avons déjà souligné, indivisibles.
Parmi les plus pertinents figurent le droit à la vie, l’égalité devant la loi, la liberté d’expression, le travail, la sécurité sociale et l’éducation.
Cette interdépendance et cette indivisibilité sont démontrées par le fait que la présence de l’un implique la présence des autres, tandis que la privation de l’un d’entre eux affectera négativement le reste.
Ils ne peuvent jamais être séparés les uns des autres, et on ne peut pas non plus penser que certains sont plus pertinents que d’autres. Si l’un de ces droits est refusé ou bafoué, cela se répercute inévitablement sur les autres.
Ainsi, une personne ne peut jouir du droit à l’éducation si elle n’a pas la possibilité d’être bien nourrie, ce qui est essentiel pour pouvoir être en bonne santé et apprendre efficacement.
Tous les droits de l’homme universels sont couverts par le droit local et, bien sûr, international, et sont bien sûr garantis par la législation pertinente. Cela permet de contester par des moyens légaux toute action qui leur est contraire, où qu’elle se trouve.
À moins qu’un tribunal ne détermine qu’une personne a commis un crime, l’un de ces droits peut être restreint, comme le droit à la liberté, si la personne est condamnée à une peine d’emprisonnement.