Définition de Encourager

Qu’est ce que : Définition de Encourager

L’usage répandu du mot encourager est d’exprimer les actions connexes suivantes : propulser, pousser, aider, favoriser, bénéficier, organiser et promouvoir, quelqu’un dans une certaine situation, ou quelque chose, tel est le cas de certains travaux, projets, entre autres alternatives.

Aider, assister, promouvoir et favoriser quelqu’un ou un projet.

Il convient donc de noter que le mot en question peut être utilisé dans différents domaines et contextes en relation avec les questions d’assistance, d’aide et de promotion.

Assistance sociale aux personnes nécessiteuses afin de promouvoir leur développement et leur progrès.

Le mot en question a un usage particulier dans le contexte de l’assistance sociale, étant donné que les personnes qui se trouvent dans une situation de rue, ou qui vivent privées de certaines des nécessités de base de la vie, demanderont une assistance ou une aide dans ce sens, c’est-à-dire pour surmonter cet état de choses.
Bien qu’il appartienne à l’État national de répondre à ces besoins et de fournir l’assistance et l’aide nécessaires pour surmonter ce contexte, il est une réalité, surtout dans les pays sous-développés, que cela ne suffit pas, et il est donc nécessaire que des personnes ordinaires, ayant une vocation de solidarité et de charité, interviennent avec de l’aide, soit en leur nom propre, soit par le biais d’une organisation sans but lucratif dont le but est d’aider ce type de personnes. Dans le cas de l’État, la première action pour aider ces personnes à surmonter leur situation est généralement de leur fournir une subvention afin qu’elles puissent commencer à surmonter leur manque de nourriture, de logement, etc. Idéalement, pour que ces personnes aient des perspectives d’avenir, cette subvention devrait ensuite être remplacée par un emploi grâce auquel elles pourront gagner leur vie et subvenir à leurs besoins.
D’autre part, la promotion de l’éducation est également importante pour ces personnes défavorisées, car la connaissance est sans aucun doute une ressource qui ouvre les portes du développement et de la croissance dans la société actuelle.
Par exemple, les études et leur promotion sont essentielles pour que les personnes qui ne sont pas nées dans la richesse, ou dans une situation aisée, puissent un jour s’améliorer.
Cependant, il n’est pas toujours vrai que ce qui est encouragé ou promu s’avère positif ou tend à générer des enjeux bénéfiques ou favorables, que ce soit pour l’individu, pour son environnement ou pour le bien commun.
Par exemple, un parent peut promouvoir et encourager les bons sentiments chez son enfant, loin de promouvoir toute forme de mal envers les autres, tandis qu’un autre parent peut encourager chez son enfant des sentiments qui n’ont rien à voir avec l’amour, l’assistance et la charité, l’orientant davantage vers une manière d’être personnaliste dans laquelle le bien commun n’a pas sa place mais des aspirations et des réalisations personnelles.
Comme ce cas, il y en a beaucoup d’autres qui font appel à des actions constructives ou, au contraire, destructrices.
Mais si nous nous concentrons sur les points bénéfiques à encourager, un point essentiel à encourager et qui continuera à l’être à travers les siècles est la culture et la passion pour la connaissance, car c’est ainsi que l’humanité pourra surmonter ses principales lacunes et se développer au maximum.

L’importance de favoriser la connaissance pour le progrès humain

Comme nous l’avons exprimé plus haut en parlant de la situation des personnes souffrant de privations économiques, la connaissance, la promotion de la connaissance en elles, est la clé du salut, de la sortie digne et absolument possible de la pauvreté, car la connaissance ouvre des possibilités infinies d’insertion dans des marchés du travail compétitifs, et doit toujours être encouragée.
Il est également important que les bons us et coutumes soient encouragés par tous les agents sociaux d’une société afin de favoriser la construction d’une communauté où règnent l’harmonie et la solidarité.