Qu’est ce que : Définition de Diablo
Le mot diable est un terme d’usage très répandu dans notre langue et dans le langage familier, il est courant que nous l’utilisions pour désigner diverses matières….
Personne coquine ou audacieuse
Lorsqu’un individu, en particulier un enfant, se caractérise par son extrême espièglerie, son audace et son indiscipline, on l’appelle le diable, bien sûr de manière affectueuse…
‘Juani, le fils de mon cousin est un diable, chaque fois qu’il rentre à la maison, il met tout sens dessus dessous’.
Personne rusée
De même, lorsqu’un individu est rusé, intelligent dans une matière, une activité ou un sujet, on l’appelle un diable.
‘Mario est un vrai diable avec un ballon de football à ses pieds.’
Personne qui accomplit le mal
D’autre part, le terme est appliqué lorsque l’on veut rendre compte d’une personne qui se distingue par sa mauvaise humeur ou qui présente une mauvaise humeur très marquée dans tout ce qu’elle fait.
‘Alejandro est un diable, il a ruiné nos vies’-
.
Religion : esprit surnaturel attribué au mal, au péché, antagoniste de Dieu.
Dans la religion chrétienne, le mot a une présence particulière dans la doctrine, puisque le diable est cet esprit surnaturel qui s’oppose à Dieu et qui se caractérise par le fait d’être très mauvais, c’est-à-dire que l’action du diable est rendue responsable des déviations et des mauvaises actions des hommes.
Il est l’antagoniste de Dieu par-dessus tout, et dans ces différences marquées qui les séparent, Dieu fait le bien tandis que le diable nous pousse à faire le mal ; la religion nous motive à prendre un chemin loin de cet être méprisable et à nous rapprocher de Dieu ; le diable nous invite à pécher, tandis que Dieu nous éloigne du péché et nous pousse à faire le bien.
Il est également connu sous le nom de Satan et, dans le Nouveau Testament, son existence est abordée en affirmant qu’il était à l’origine un bon ange de Yahvé qui est devenu très mauvais.
Mais le personnage du diable a sans aucun doute transcendé la religion chrétienne elle-même et les livres sacrés de celle-ci où apparaissent ses histoires et ses maux, et il est donc possible de trouver l’ineffable diable dans un grand nombre d’histoires fictives, même si, bien sûr, dans toutes celles où il apparaît, la motivation est toujours de le présenter comme un représentant du mal qui conduira l’homme sur le mauvais chemin, ou à défaut comme le maître du lieu où iront les âmes pécheresses et mauvaises.
Régent de l’enfer où vont les âmes pécheresses.
Car ce sont précisément les légendes qui ont érigé le diable en maître de l’enfer, par opposition au ciel, bien sûr, et c’est précisément dans ce lieu que finiront les âmes mauvaises qui ne se sont pas repenties de leurs péchés et ont continué à faire le mal jusqu’au dernier jour de leur vie.
En enfer, la plus haute autorité est le diable et le lieu est dépeint comme un espace sombre, couvert de feu, avec des créatures monstrueuses et contrairement au ciel, qui est au-dessus, dans le sous-sol de la planète.
C’est dans la Grèce antique que cette vision négative du diable a commencé à se développer et à se répandre, pour s’étendre ensuite à d’autres religions et croyances, comme le christianisme.
En raison de la peur que cet ange maléfique inspirait aux gens, on lui faisait des sacrifices dans le but d’apaiser sa soif de vengeance et de mal, que l’on croyait capable de provoquer des catastrophes et des maladies graves.
Expressions couramment utilisées contenant le mot
Il existe également un certain nombre d’expressions populaires qui contiennent le mot ‘diable’, et nous les utilisons donc souvent dans la conversation : como un diablo (on l’utilise pour exprimer l’excès), del diablo (on l’utilise pour augmenter le caractère négatif de quelque chose), irse al diablo (si quelqu’un est gâté par diverses actions ou comportements), mandar al diablo (quand une personne se détourne totalement de quelque chose qui n’est pas bon pour elle, cette expression est utilisée pour exprimer cela), llevar los diablos (utilisé pour exprimer que quelqu’un est extrêmement en colère), pobre diablo (utilisé pour désigner un individu qui a peu d’importance ou de valeur), et tener el diablo en el cuerpo (utilisé pour indiquer que quelqu’un est connu pour être agité).
Il est l’antagoniste de Dieu par-dessus tout, et dans ces différences marquées qui les séparent, Dieu fait le bien tandis que le diable nous pousse à faire le mal ; la religion nous motive à prendre un chemin loin de cet être méprisable et à nous rapprocher de Dieu ; le diable nous invite à pécher, tandis que Dieu nous éloigne du péché et nous pousse à faire le bien.
Il est également connu sous le nom de Satan et, dans le Nouveau Testament, son existence est abordée en affirmant qu’il était à l’origine un bon ange de Yahvé qui est devenu très mauvais.
Mais le personnage du diable a sans aucun doute transcendé la religion chrétienne elle-même et les livres sacrés de celle-ci où apparaissent ses histoires et ses maux, et il est donc possible de trouver l’ineffable diable dans un grand nombre d’histoires fictives, même si, bien sûr, dans toutes celles où il apparaît, la motivation est toujours de le présenter comme un représentant du mal qui conduira l’homme sur le mauvais chemin, ou à défaut comme le maître du lieu où iront les âmes pécheresses et mauvaises.
En enfer, la plus haute autorité est le diable et le lieu est dépeint comme un espace sombre, couvert de feu, avec des créatures monstrueuses et contrairement au ciel, qui est au-dessus, dans le sous-sol de la planète.
C’est dans la Grèce antique que cette vision négative du diable a commencé à se développer et à se répandre, pour s’étendre ensuite à d’autres religions et croyances, comme le christianisme.
En raison de la peur que cet ange maléfique inspirait aux gens, on lui faisait des sacrifices dans le but d’apaiser sa soif de vengeance et de mal, que l’on croyait capable de provoquer des catastrophes et des maladies graves.