Qu’est ce que : Définition du logarithme
1. Expression mathématique représentant le nombre de fois qu’un nombre A (base) doit être multiplié par un nombre B (exposant) pour obtenir le nombre C, en formulant l’équation : Aᴮ = C. Étymologie : du latin scientifique logarithmus, défini comme tel en 1614 par le mathématicien écossais John Napier (1550-1617), dans son ouvrage Mirifici logarithmorum canonis descriptio (que l’on peut traduire par Description du merveilleux canon des logarithmes ). Construit sur des références au grec λόγος ( lógos ), utilisé de manière récurrente comme suffixe -λογία ( -logía ), comme science ‘, parole ‘, et dans ce cas en particulier raison ‘, et ἀριθμός ( arithmós ), pour désigner le nombre ‘, comme dans arithmétique, en latin arithmetĭca, par rapport au grec ἀριθμητική ( arithmētikḗ ). Cat. grammatical : subst. masc.
En syllabes : lo-ga-rit-mo.
Logarithme
En mathématiques, un logarithme est l’exposant auquel une certaine quantité positive doit être élevée pour produire un certain nombre. Elle est également connue comme l’inverse de la fonction exponentielle.
Quant au logarithme, c’est l’opération mathématique par laquelle, étant donné un nombre résultant et une base de potentialisation, il faut trouver l’exposant auquel la base doit être élevée pour obtenir le résultat susmentionné. Comme pour l’addition et la multiplication, qui ont leurs opérations inverses, la division et la soustraction, le logarithme a pour fonction inverse l’exponentiation. Exemple : 10(2) = 100, le logarithme de 100 en base 10 sera 2 et s’écrira comme suit : log10 100 = 2. Cette méthode de calcul au moyen de ce que l’on appelle les logarithmes a été mise au point par John Napier au début du XVIIe siècle. La méthode logarithmique a non seulement contribué à l’avancement de la science, mais elle est également devenue un outil fondamental dans le domaine de l’astronomie, en simplifiant des calculs très complexes.
Les logarithmes ont été largement utilisés en géodésie, dans certaines branches des mathématiques appliquées et dans la navigation maritime, lorsque les calculatrices et les ordinateurs n’étaient pas encore le fait concret qu’ils sont aujourd’hui.