Qu’est ce que : Définition du Kashrut
Contents
- 1 Qu’est ce que : Définition du Kashrut
- 1.1 C’est le guide alimentaire juif
- 1.2 La plupart de ces lois ont une composante symbolique (par exemple, la consommation d’espèces de poissons avec des nageoires et des écailles est acceptée car les Juifs doivent s’habituer à ‘nager à contre-courant’ dans une société souvent hostile).
- 1.3 Distinguer deux concepts souvent confondus
Ceux qui pratiquent le judaïsme en suivant fidèlement les préceptes des textes sacrés savent que la nourriture est soumise à certaines règles. L’origine de ces règles se trouve dans la Torah, où le concept d’animaux purs et impurs est clairement différencié.
C’est le guide alimentaire juif
En hébreu, le terme ‘kashrut’ ou ‘cacher’ est généralement traduit par ‘correct’ ou ‘correct’. Ainsi, lorsqu’un aliment respecte les lois du judaïsme, cela signifie qu’il est propre à être consommé. En ce sens, les lois alimentaires du judaïsme sont destinées à préserver le corps et l’esprit des fidèles.
De plus, ces directives ont servi à maintenir l’identité du peuple juif. Certaines de ces lois sont les suivantes :
– La viande animale qui peut être consommée doit appartenir à un ruminant dont le sabot est fendu.
– En ce qui concerne la volaille, la viande de certaines espèces peut être consommée et celle d’autres non.
– En ce qui concerne les poissons, ceux qui ont des écailles et des nageoires peuvent être consommés.
La viande et les produits à base de viande ne peuvent être mélangés à aucun produit laitier.
– L’abattage rituel d’un animal est soumis à certaines règles (par exemple, il doit être abattu par un rabbin, l’animal ne doit pas être malade et le sang doit être prélevé selon un rituel). Les règles qui doivent être observées à cet égard sont connues sous le nom de halacha.
– Le vin qui est consommé est soumis à un processus de vinification strict dès le moment où les raisins sont foulés.
– Des lois diététiques s’appliquent aux insectes et aux vers, ainsi qu’un certain nombre d’interdictions concernant certains colorants et additifs (en règle générale, ceux dérivés des graisses animales sont interdits).
La plupart de ces lois ont une composante symbolique (par exemple, la consommation d’espèces de poissons avec des nageoires et des écailles est acceptée car les Juifs doivent s’habituer à ‘nager à contre-courant’ dans une société souvent hostile).
Si la cacherout est ancrée dans les textes sacrés, la tradition rabbinique a adapté ces lois à la vie quotidienne des Juifs.
Enfin, un établissement vendant des produits respectant les règles alimentaires du judaïsme devient un lieu de rencontre.
Distinguer deux concepts souvent confondus
Dans certains textes, le mot kashrut est présenté comme un synonyme de kasher. Bien qu’ils soient manifestement liés, ce ne sont pas des termes équivalents. Alors que la cacherout fait référence aux règles diététiques à respecter, la cacherout indique qu’un aliment est intégré à la nourriture juive.