Qu’est ce que : Définition de la nature optionnelle
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Le concept qui nous concerne dans cette revue a une utilisation dans le domaine du droit et est composé de deux termes, d’une part le caractère, qui désigne l’état ou la nature que possède une chose et qui la distingue des autres. Et d’autre part, potestative implique ce fait qui est libéré au pouvoir de chacun.Le pouvoir, comme nous le savons, est la domination que l’on exerce sur quelque chose.
Maintenant que ces questions sont claires, nous allons pouvoir aborder le concept et son application.
Fait soumis au libre arbitre de chacun.
Nous parlerons de caractère facultatif lorsqu’un fait, quelle que soit son origine, est soumis à la libre faculté ou au pouvoir de chaque individu, par exemple, on nous donne une enquête sur la satisfaction des clients et une fois qu’elle est terminée, l’enquêteur nous dit que la signature du même est de caractère facultatif, cela implique que si vous voulez vous pouvez la signer ou si vous ne voulez pas vous ne pouvez pas être forcé de quelque manière que ce soit à le faire.
‘La signature de l’enquête à laquelle j’ai participé était facultative’- Cela peut être transposé à tant d’autres actions que les êtres humains peuvent effectuer et dont ils n’ont pas à assumer la responsabilité, ou du moins personne ne peut les forcer à le faire.
Recours qui peut être introduit devant un acte administratif pour le contester.
Par contre, à la demande d’un recours administratif, qui est le moyen établi par la loi pour obtenir soit la modification, l’invalidation ou la révocation d’une décision administrative, le recours discrétionnaire sera celui qui est introduit auprès de l’organe qui a émis la décision en question, car cet organe n’a pas de supérieur hiérarchique.
Elle est dite facultative car elle peut être introduite ou, à défaut, être portée directement devant les tribunaux. Toutefois, si un tel recours est introduit, il est nécessaire d’attendre sa résolution avant de s’adresser aux tribunaux.
La raison d’être de ce recours est de permettre aux citoyens d’accéder à une procédure de libre examen des actes qui mettent fin à la procédure administrative, sans leur imposer la charge d’introduire un tel recours. C’est pourquoi les actes qui mettent fin à une procédure administrative peuvent faire l’objet d’un recours en reconsidération ou être contestés directement devant les juridictions contentieuses-administratives.
Qui peut le présenter et comment se déroule la procédure ?
Cet instrument est certainement un recours pertinent pour les citoyens ordinaires car il leur permet d’introduire un recours contre une décision administrative qui, par exemple, ne leur est pas favorable.
La procédure prévoit alors un contrôle de l’acte administratif en question.
Les parties intéressées ou les parties à l’acte administratif sont habilitées à introduire le recours, mais aussi ceux dont les intérêts ou les droits sont affectés par une décision peuvent également introduire un recours.
Les associations qui défendent et représentent les intérêts sociaux et économiques d’une partie de la société et pour autant qu’elles soient reconnues comme telles par la loi peuvent également introduire un recours.
La procédure pour l’entamer nécessite normalement une demande, qui doit inclure des données d’identification personnelle, la cause pour laquelle l’acte est contesté, et également fournir une adresse où la personne peut être contactée pour être notifiée de manière fiable s’il y a une résolution.
En ce qui concerne les documents qui doivent être présentés pour engager l’affaire, tous ceux qui favorisent la défense de l’affaire doivent être inclus.
En général, le délai de résolution de l’affaire est d’un mois.
En cas de silence de la part de l’administration, le dossier sera considéré comme rejeté et ne pourra pas être rétabli, sauf dans des circonstances extraordinaires.